Nice review at Télérama ! [...] Pour une dizaine de jolies pièces pop que son auteur compare humblement aux travaux d’un peintre du dimanche. Avec tout de même de la bouteille, de l’application, voire de l’inspiration. Ça peut tirer en arrière du côté hululements sixties montés sur cordes célestes (Polnareff ou Beach Boys), soit vers une techno-pop eighties en cocktail à peine alcoolisé (Elli et Jacno, Daho et Cie). Mais l’ensemble dégage un caractère, sinon un style. À commencer par une patte, pas si fréquente en nos contrées, de mélodiste accompli. [...]