C'est le livre Themes for Great Cities de Graeme Thomson qui a donné envie à Jérôme Didelot, leader d'Orwell, de réarranger des titres du groupe Simple Minds. Cette biographie, qui rend hommage à l'inventivité des premières années de Simple Minds, fit l'effet d'une révélation au musicien nancéien : "L'idée n'était pas de réinterpréter des morceaux que tout le monde a déjà fredonnés, mais d'aller chercher dans la discographie du groupe écossais des thèmes moins connus, parfois noyés dans la radicalité du son de ces premiers albums, et de les proposer dans des versions personnelles, presque solennelles."
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