Chronique de Parcelle Brillante sur Fanfare Pop. [...] Une dizaine de chansons aux lignes mélodiques éclatantes se succèdent ensuite, toutes servies par une production minutieuse, mettant en valeur chaque détail d’une orchestration raffinée (la flûte du morceau-titre, le saxophone du premier single Jamais Assez). Jérôme Didelot et ses compagnons explorateurs entraînent l’auditeur dans un voyage pop exaltant et maîtrisé, au fil duquel Orwell marche sur les traces rétro-futuristes de Stereolab (Lone), s’aventure sur le terrain de la chanson radiophonique (Les Ondes) et imagine des symphonies minimalistes que Sean O’Hagan et ses High Llamas n’auraient pas reniées (Rien Ne Pourra Me Rendre Sage). Au cœur de cette Parcelle Brillante se développe un imaginaire pop baroque sans limites. [...]