Excellente chronique de The World Is All Wrong But It's All Right sur Indiemusic. [...] Alors oui, notre lieu de survie et de progrès est malade, pollué et devient, au fur et à mesure d’une pseudo-évolution, l’objet de toutes les rancœurs et des plus grandes déceptions. Mais, tandis que Grimme observe et écrit, sur le carnet de ses mémoires et de ses pensées, des airs et chansons proches de nous, de notre imaginaire et de nos besoins quotidiens, ces sentiments asséchés qu’une eau régénératrice va bientôt, à travers « The World Is All Wrong But It’s All Right », nourrir et faire renaître et refleurir, la blancheur immaculée d’un espoir trop tôt ignoré revient devant nos yeux et prend forme pour mieux épouser nos contours et nos peaux si pâles, illuminant nos regards de mille teintes pures et multiples. Un disque vertueux et indispensable, qui ne cesse de nous obséder et de nous prendre dans ses filets pour mieux soigner nos tourments. [...]