Chronique de It sur Musiczine. [...] Vocalement, François-Olivier est un véritable caméléon, capable d’emprunter tour à tour le timbre et même les inflexions, de Devandra Banhart, Bryan Ferry, Peter Murphy, Mark Hollis ou encore Dominique A. Musicalement, Frantic puise ses sources dans les eighties, et tout particulièrement chez Depeche Mode circa « Construction Time Again », John Foxx, Ultravox voire Tubeway Army. Hormis le minimaliste « And leave it all behind », plage au cours de laquelle, F-O chante en s’accompagnant uniquement à la guitare électrique, tous les titres baignent dans l’électro wave. [...]
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