Lu chez Froggy's Delight : [...] Le concept est excellent, le résultat une réussite. La musique évoque le Paris des années 60, avec tout ce que cela implique de couleurs et de références, une certaine idée du style et du raffinement, et Isobel Campbell, qui chante tout en délicatesse avec un joli sens du phrasé, en français (ah ces chanteuses britanniques et leur petit accent qui plaît tant aux Français !) ou en duo avec Jérôme Didelot (dans le sympathique "Je ne finis rien") est comme un rayon de soleil après la pluie. [...]
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