Chronique de Parcelle Brillante dans Le Mad/Le Soir. [...] Parcelle brillante perpétue cette élégance pop à la française qui n’a pas toujours été reconnue à sa juste valeur. Quand on dit élégance, on ne parle pas que de la voix douce et traînante de Jérôme mais aussi de sa science des arrangements pour flûte, violons, violoncelle, marimba et vibraphone qui tissent un monde brillant avec Les ondes en guise de Dérivation car on n’en a Jamais assez (avec Armelle Pioline). [..]